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23 février 2012

New York

freedom-tower

 

Je suis loin de la ville apple, et pourtant je garde le souvenir de vertige omniprésent des grattes-ciels voulant écorcher le ciel, les lumières et la foule immense s’activant à travers les avenues, peuplées de part et d’autre de magasins à l’image du commerce international.
Je n’oublierai jamais comment les new yorkais, résidents de la ville la plus connue du monde, témoins de leur importance et de leur puissance, ont été le cours de cette semaine beaucoup plus ouverts et accueillants que mes confrères français.
Je n’oublierai jamais comment cette ville à l’immensément grand nous fait nous sentir comme de minuscules fourmis.

Bien avant, je m’imaginais que New York serait comme Picadilly Circus, bordée de lumière mais en mieux.
Je m’imaginais que tout allait m’aveugler, tellement c’était éclairé.
J’avais parcouru l’histoire de New York en illustrations mais les images ne remplaceraient jamais les scènes de vie que j’ai vécu là-bas.

Je m‘imaginais aussi que New York serait à l’image de l’égérie des restaurants clownesques mondiaux, des M jaunes encerclant chaque tournant d’avenues.
Je m’imaginais que j’allais assister à une guerre de gang, ou même que j’allais me faire dépouiller, dans des quartiers comme Harlem ou le Bronx.
Je croyais que tout allait être comme à la télé.

Je voulais aussi croire à la magie du pouvoir financier New Yorkais.
Enfin, je croyais que tout le monde allait danser devant moi.

Je garde en moi également l’image, pendant que l’ascenseur faisait défiler les 35 étages du grand immeuble au fur et à mesure que l’on descendait, l’impatience de poser un pied sur ce sol inconnu et l’excitation de rencontrer cette terre si différente de la nôtre, et pourtant si présente et ancrée dans nos esprits.

Quand je veux me rappeler New York, c’est cette image qui vient.
Le fait de se jeter dans Times Square, tout sourire, dans la mêlée, bonnet sur la tête (froid oblige).
Là, on est assailli par les incitations visuelles qui nous sollicitent de tous côtés.
On perd la tête, c’est un délire de coke à 360° en temps réel.

Tous les gens autour de nous se prennent au jeu, que ce soit des gens pressés, des travailleurs, ou des touristes, comme nous.
Vous êtes pris dans cette ronde, mêlée aux joies de Noël, mêlée aux musiques lointaines des comédies musicales de Broadway. Et les hot dogs présents à chaque coin de rue vous réchauffe. Vous vous sentez appartenir à un moment irréel, si étrangers mais si inclus.

New York est une grande ville aux allures d’infatigable
Donuts, danseurs urbains, Disneyland et Abercrombie rythment son asphalte.

Nous, pris dans son tourbillon,
On visite la gare, 3 p’tits tours et puis s’en vont.

La patinoire de Central Park et les rues sont toujours bondées,
Tandis que la boutique M&M’s nous accueille à la volée
Le sapin de Times Square de 30m de haut inonde la chaussée.

Il faisait froid, normal on était en décembre
Les hots dogs à 1$ étaient là pour nous détendre.

Pendant cette semaine, j’ai appris à faire du shopping
Carte bleue de mon père…. Merci thanks giving !

J’ai retrouvé une famille, j’ai fêté mes 18 ans
J’ai mangé des hamburgers, mais pas n’importe lesquels : ceux avec du bacon dedans.

Maintenant je comprend pourquoi on dit « New York I love you »
Toi et moi, c’est quand tu veux pour un autre rdv.

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